La propriété S’Olivar se trouve à 400 mètres du village d’Estellencs en pleine Serra de Tramuntana, patrimoine culturelle de l’UNESCO. Cette cordillère majorquine part du Cap de Sa Mola (à Andratx, à coté de Sant Elm et de l’île Dragonera, Parc Naturel) jusqu’au Cap de Formentor (à Pollensa). Ses pics naissent au niveau de la mer et atteignent presque de 1500 mètres d’hauteur. Reconnue par son paysage splendide, la Serra a aussi été reconnue par ces marges, des gradins de pierre sèche, qui soutiennent les terrasses des versants. En empêchant l’érosion, les marges ont permis de cultiver les oliviers centenaires.
A 25 minutes à pied et à 5 minutes en voiture, on retrouve la crique d’Estellencs, qui fait partie de la Costa Nord majorquine, le versant de la Serra de Tramuntana qui fait face à la Méditerranée. Cette crique est une plage de galets ronds et d’eaux cristallines, parfaites pour méditer ou se rafraîchir de la chaleur de l’été. C’est dans cette Costa Nord, où la Serra atteint son zénith en se combinant avec l’azur de la Méditerranée, que de grands penseurs et artistes tels que Ramón Llull, l’Archiduc Luis Salvador, Frédéric Chopin ou Robert Graves on cherché leur inspiration.
C’est la montagne magique de Majorque. Sa magnifique présence et son sublime mystère ont donné origine à de nombreuses légendes millénaires. Sur le coteau nord, qui descend jusqu’à la mer, on retrouve la grande et à la fois accueillante vallée d’Estellencs où se trouve la propriété agrotouristique S’Olivar, qui fait face a la Méditerranée. Dans cette montagne, il y a une grande variété de promenades où l’on peut découvrir peu à peu la Serra et admirer à la fois l’île d’une vue à vol d’oiseau.
La singularité de la Serra de Tramontana, qui a motivé sa nomination comme Patrimoine de l’Humanité, n’est pas seulement dûe à l’exceptionnalité du paysage. Toute aussi importante pour l’UNESCO a été l’intervention douce de l’homme, qui a modelé ce paysage en le rendant plus agréable et habitable. Témoins de cela, sont les marges ou les terrasses de pierres millénaires, qui ont prévenu l’érosion et qui ont permis tout à la fois la culture des prodigieux oliviers centenaires. C’est grâce à cela que l’UNESCO a pu reconnaître cette singularité.